OFFRANDES
Les jours sont courts et les feuilles tombées craquent sous les pas des rêveurs inconsolés cheminant pour retrouver l’impossible Temps de ce qui fut. Aujourd’hui est solitude, parfois colère, parfois raison, mais le plus souvent Reconnaissance pour ce qui alentour demeure en Beauté et Poésie, confie Jani dans un échange récent. Ses écrits résonnent avec son œuvre picturale et Jani demeure lumineuse d’appétence pour la vie, toute la vie, visible et invisible. Il y a la douleur du deuil, le désert après le départ de l’être aimé, des mélancolies qui tourmentent le cœur. Le feu intérieur toujours présent se mesure à son rougeoiement à vif dans les cendres. Quand les années ont passé, qu’exprimer de ce qui a été offert ? S’égrènent le long de ses livres l’élan de celle qui ressent comme une « chance inouïe de pouvoir essayer de comprendre le ‘ pourquoi’ de ce passage sur Terre où toutes les formes de vie sont divinement reliées », qui plus tard découvre « ce qu’elle cherchait instinctivement : un sens à la raison d’être » , et enfin affirme « peindre est pour moi l’outil précieux qui me permet de rester connectée avec les mondes, de ne pas perdre la sensation du Sacré ».Aujourd’hui l’œuvre présentée condense en elle-même les éléments de cette quête. Elle demande un arrêt. Une contemplation. Un silence.
BEAUTÉ
Nous sommes devant les tondis, c’est-à-dire un travail peint sur un support de forme ronde célébrant la perfection du cercle. Ici, trois tondis de peuplier, chacun de 70 cm de diamètre, sont support d’une œuvre nommée ‘Offrandes’. Sur le fond clair-obscur, richesse et beauté, mesure et dépouillement. Sur la scansion musicale d’un rythme ternaire, le cercle et le carré entrent en dialogue, l’enraciné et le mouvant s’imposent au regard. La ligne droite structure, la courbe règne. Le premier et le troisième tondo sont tables d’offrandes : des coupes emplies de fruits, image de la fertilité de la terre, du travail et de la récolte, ont été déposées. Coupes et carafes ont élégance et simplicité, rien d’ostentatoire, esthétique et fonction se fondent. Placées en alternance d’harmonie, elles semblent nous murmurer à l’oreille les mots de Baudelaire : Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Une lumière effleure l’arrondi des pommes, des prunes, poires, figues ou cerises, et des grains de raisins. Des pointes de jaune, de vert ou de violet luisent sous sa caresse. Sur le cercle extérieur, quatre rectangles recueillent une forme peinte à la feuille d’or, sorte de petite entité qui veille, ange gardienne. Le Palais des Vents, page 15, Feuilles d’Or, page 94 Feuilles d’Or, page 114
TEMPS
Cette mise en place inspire le respect, la dévotion peut-être même, et questionne le sens d’un cérémonial caché sous la lumière d’une lampe du cœur en feuille d’or, brillant dans son éclat et sa matité. Avons-nous pénétré dans un sanctuaire, Jani a-t-elle poussé une mystérieuse porte découvrant une table d’offrandes, lieu d’un apaisement au-delà du pardon ? Est-ce Offrande au mendiant qui passe, à l’âme d’un mort aimé, ou à une divinité pour l’honorer, entrer en communion ? Le questionnement se nourrit de contrastes ; ces vases et ces coupes de fruits ont la simplicité de la vie quotidienne, mais la beauté qui s’en dégage interroge les mains qui les ont ainsi disposées. Qui a accompli ce geste ressenti comme un rituel ? Invisible aussi le destinataire de l’envoi ; est-ce celui qui fait silence, celui vers lequel se murmurent les plaintes, coulent les larmes, montent les prières, le grand invisible qui soudain devient le grand Présent ? Cette Présence attache le regard à une œuvre qui déborde la dimension du temps, s’affranchit de la durée, génère des espaces.
ATTENTION
Rien n’est laissé de côté, rien de secondaire, c’est un monde en son entier qui se présente à nous. Les fonds participent à cet accomplissement. De leur obscurité surgissent des signes, des traces, au gré de la lumière. Leur lisseur découvre des arabesques évoquant un frémissement liquide comme pour rappeler que la paix et le silence s’inscrivent sur le mouvement et l’agitation. L’essentiel est toujours à dire, à vivre : il reste à changer de position, il reste à rendre grâce, peut-être à s’agenouiller. La vie donnée sera reprise. Il reste le temps du respect et du silence, de l’enlacement des énergies du masculin et du féminin. Le parcours artistique de Jani emprunte des chemins où le mental est à l’écoute pour accueillir l’imprévisible de la sensation, un parcours où l’attention en éveil est valeur fondamentale.
ÉQUILIBRE et PARTAGE
Ces trois tondis dégagent une stabilité, une force. L’attraction qu’exerce ce triptyque vient-elle du tondo central, le bien nommé « Équilibre du Partage », qui palpite de ses lignes ondulatoires, sorte de cœur de l’énergie toujours renaissante, ou vient-elle d’une intuition du regard qui s’enfonçant dans les touches de couleur et les maillages d’or, soulève une émotion très intime ? Jani confiera au cours d’un échange : Depuis des années je couvais avec crainte ce projet ‘Offrandes’. Et puis, soudain et sans hésitation, j’ai osé matérialiser une forte sensation, une très ancienne troublante émotion. En réalisant ce triptyque j’étais à la fois l’offrande et le concept sacré feuille d’or incarné en veilleur dans une loge aux quatre points de rencontre des deux droites perpendiculaires du cercle. Les quatre loges ‘habitées’ sont le lien entre les trois cercles.
GRATITUDE
Être à la fois l’objet du don et le sujet qui veille, et proposer une géométriedans l’espace qui est également espace intérieur. Avec une exigence fidèle à sa quête, Jani explore inlassablement ce double territoire, cherche dans une forme renouvelée la résonnance de l’être. Approche de l’intériorité du cercle, géométrie sacrée qui révèle avec élégance et dignité, un sens de la lutte et de l’honneur. Il y a une joie cachée, un éclat de bonheur secret dans le mouvement du don, un éclat d’amour dans l’envoi vers l’autre, une lumière du geste qui trace une relation à l’invisible, construit un socle à l’impalpable. Dans la peinture de Jani brille un point d’or au cœur de la nuit, miroir de l’âme de qui contemple. « Céleste Cathédrale de ceux qui cheminent, lien magique unissant Rigueur et Volupté »
Cypris Kophides
Quel point commun y a-t-il entre le mandala de sable qui s’écoule des doigts habiles du moine tibétain; les plafonds ornés des églises baroques, sévillanes, de la synagogue espagnole de Prague, de la mosquée d’Ispahan ou des temples hindous; et les mains, pieds et voix des chanteurs ou danseuses de flamenco, de soufi ou de kathak ?
Ce sont des formes d’incantation, d’élévation ; la matérialisation d’une quête humaine qui traverse les époques, les cultures, les continents…
L’œuvre de Jani porte en elle cette quête, ce voyage que l’on fait en soi, tout au long de sa vie, oscillant entre désirs, doutes, certitudes fugaces, espérances, méditations, apaisements et colères.
Lorsque la plume touche le papier, m’a-t-elle dit un jour, le vide se fait alors. Elle n’est plus que cette pointe d’encre qui sillonne les reliefs du papier artisanal qui porte lui aussi les traces de la main. Elle devient cette petite bille d’or, qui roule de creux en montagnes, laissant derrière elle une trace de lumière qui sera offerte à la vue d’autrui, telle une invitation à la suivre dans ce voyage intérieur. Le travail de Jani est un acte de méditation. L’esprit EST dans la main lorsque celle-ci trace, sans filet, cette cartographie géométrique et poétique.
Jani partage avec nous sa lumière, le fruit de sa quête de liberté.
Presque un siècle sur cette terre ! Et toujours en quête de liberté…
Petite-fille d’une grand-mère gitane adorée, jeune fille passionnée de peinture, Jani a quitté très tôt une famille qui contrariait ce désir naissant d’embrasser le monde. Mariée quatre fois jusqu’à rencontrer le vrai merle noir, Felipe, Jani a toujours vécu en femme libre, quitte à payer le prix de son indépendance.
Peut-être restera-t-elle dans une prochaine vie à Daramsala, à faire des tankas et des mandalas comme le lui avait proposé le Dalaï-Lama à l’époque ? Elle avait en ce temps encore trop le “goût des boucles d’oreilles” comme elle le dit si bien, avec ses yeux pleins de malice et ce sourire ravageur…
En attendant, elle peint, sans relâche, comme un funambule qui tisserait le fil sur lequel il avance au fur et à mesure… elle continue de grandir, et de nous faire grandir avec elle.
Un des derniers triptyques réalisés pour l’exposition s’intitule Offrandes. À quel être secret s’adresse cette prière graphique ? Aux êtres aimés, trop tôt disparus ? Aux cieux, et tout ce qu’ils comportent de mystère ? Au regardeur, qui aura la chance de contempler ce travail ?
Car oui, être artiste, c’est faire des offrandes. Offrir, grâce à l’œuvre, un moment d’émotion, une respiration. Se mettre en état de recevoir, c’est comme appuyer sur le bouton pause de la bande sonore des bruits du monde, ceux qui nous envahissent le cœur et l’esprit, pour y ouvrir une brèche et laisser entrer un silence resplendissant.
Rentrer dans l’univers de Jani, c’est plonger en soi. Prendre le temps de se perdre entre les lignes, pour mieux s’y retrouver. S’arrêter, intrigué par un mot ou une gravure symbolique dans la feuille d’or… faire un pas de côté, découvrir à quel point la lumière fait chanter l’œuvre différemment selon l’angle de vue, révèle les couleurs des pastels qui jouxtent les lignes d’or. Comprendre -sentir- que l’œuvre existe d’abord par la main de celle qui fait, mais à l’instant précis grâce au regard que l’on porte sur celle-ci.
L’œuvre existe pour et par soi, maintenant.
Cette exposition intitulée Ahimsa rassemble les œuvres récentes de l’artiste, créées spécifiquement pour. Elles sont la matérialisation de mois de travail et d’une vie de réflexion.
Merci Jani, de partager avec nous ta lumière, grâce à toi, on se sent moins seuls dans la nuit.
Laura Capazza-Durand
Un jour de mai 2025
Au-dessus des nuages entre Séville et Nançay
« Le mandala dans l’art pictural est un couple qui n’a jamais vieilli parce qu’il s’est renouvelé à chaque époque et même vent contraire aux idées en cours; il s’est mis à la disposition des peintres, des plasticiens en tout genre. Notre amie Jani est un exemple, ô combien important dans le microcosmos ou la confrérie d’amateurs d’art, exposée depuis des décennies dans les galeries d’avant-garde.
Le mandala, chez Jani peintre, est à l’apogée du style, chez Jani écrivaine, le mandala a sa place en tant qu’image littéraire, avec ses reliefs poétiques à chaque page quand ce n’est pas à chaque phrase.
L’artiste a découvert en Inde ce qu’elle détenait en elle déjà, depuis qu’elle s’adonnait à la peinture pour accomplir son besoin de créativité. Tout va bien dans le ciel des mandalas peints par notre amie qui s’en donne à coeur joie devant ses oeuvres à terminer et celles déjà dans le circuit des expositions, des marchés d’art où le public lui renvoie un signe d’appréciation quand ce n’est pas une lettre d’admiration, mais l’amie reste lucide en acceptant l’éloge donné du fond du coeur par un esprit chercheur car n’étant pas de la dernière pluie, l’expérience lui a appris à écouter, tout commentaire, sans en tirer gloire, ".
Claude Haza Nice 30 Septembre 2023
«Le peintre Jani m’a dit un jour: «l’or n’est pas une couleur comme les autres, parce qu’il n’est pas une couleur. C’est un état. Un constat. Une étape.»
"L’ultime sans doute, mais qui parfois anticipe, affleure, effleure, vient témoigner d’une lumière dans la nuit, d’une matière vivante et de ses messages. Messages car il s’agit d’un dialogue avec la matière, et c’est cette fréquentation alchimique que Bachelard appelle la rêverie. Une rêverie cosmique. Comme si l’alchimiste, le peintre, sortant du langage, se laissait aller à jouer de la grande harpe éolienne, afin de bercer ce que Reeves appelle la gestation cosmique."
France Delville, Extrait d’un texte à propos de l’or
« Une culture à pour conséquence un désir d’approfondir et, si l’on est créateur, un souci d’identification à des antériorités spirituelles. Les cloîtres romans ou les temples génèrent les motets et les mandalas. L’appréciation de la délicate métrique de du Bellay ou de l’écoute des dodécaphonistes constituent au même titre notre richesse et notre liberté mentale. Ce substrat est indispensable dans sa diversité à toute prospective. La culture ne saurait se différencier, elle forme un tout. Une œuvre serait-elle possible sans culture ? Ainsi la peinture de JANI me plonge-t-elle dans une spiritualité inhérente à la culture… »
Michel Gaudet
« Dépouillées, ramenées à l’essentiel, les Mémoires Palatines de Jani sont des icônes, des représentations abstraites du divin où l’invisible devient tout à coup l’évidence même ».
Dane Mac Dowell
« Comme toujours, l’outil de Jani tend à transcender la matière employée ; une fine pâte de couleurs et de tons, triturée à satiété, jusqu’à ce que les ingrédients en deviennent fluidiques, jusqu’à ce qu’elles n’en laissent suinter que le suc de leur substance. C'est-à-dire que chez Jani comme chez Chagall, la chimie se transmue en opérante alchimie.
Les coloris s’unifient dans un parcours de lumière égale, harmonieusement répartie sur la surface du tableau enfin devenu comme le miroir d’une contemplation intemporelle. La ferme géométrie architecturale des formes s’est estompée afin de se conjuguer, je dirai, de se fondre sans rien perdre de leur symbolique, à la richesse prolifère de couleurs ayant peu à peu perdu leur fonction utilitaire pour s’assumer pleinement dans un rôle de semis culturel, au diapason des formes.
Chaque tableau de Jani sera donc une proposition à méditer les courants conducteurs de certaines civilisations hindouistes très anciennes qui demeurent ou redeviennent opérationnelles dans la marche de nos cultures occidentales éprouvées comme autant d’autres civilisations par les tragédies et les guerres, les cruautés infligées par l’homme à l’homme, à la nature et aux bêtes.
Quoique nous avancions de plus en plus dans la connaissance des mécaniques célestes, quoique nous pénétrions de mieux en mieux dans l’univers des plus lointaines galaxies, je crois que nous avons perdu le sens sacré du cosmos et par là même le sens caché de certaines correspondances. La quête initiatique que nous propose Jani dans son œuvre nous aidera quelque peu à retrouver ce sens du sacré. Son tenace chemin cultuel dans sa formation picturale s’inscrit, parallèlement aux données de la science, dans le cours d’œuvres qui tentent de remettre en cause que ce nous croyons être la fixe fatalité du destin, l’irrémédiable ».
André Verdet
« C’est à l’Ecole des Arts Appliqués de Paris, où je suis rentrée en 1948, que j’ai découvert la géométrie plane et dans l’espace. L’intérêt que je portais à cette discipline devint très vite une passion, mais qui ne pouvait, à l’époque, s’intégrer à ma peinture. Et, durant des années, je n’ai pu trouver l’architecture mentale, non artificielle, que je cherchais. Il m’a fallu de multiples expériences, parcourir un long chemin, assimiler différentes cultures, pour réaliser, tout d’abord des Mandalas contemporains et, ensuite, ce que j’ai appelé les « Mémoires Palatines ».
Ma rencontre avec Sa Sainteté le Dalaï-Lama, à Dharamsala en Inde fut déterminante. La Géométrie centrée, chargée d’un Sens, enfin, m’est apparue comme une évidence intérieure incontournable. En effet, les Mandalas, les Thankas, les Palais, les Portes, avec leurs géométries complexes et signifiantes, m’ont ouvert la voie.
Depuis 40 années, cette recherche est sans limite, sans âge. Elle évolue selon les conditions temporelles et la compréhension que je peux avoir de l’Instant ».
Jani
Lire la suite2025 Équilibre, exposition collective, Galerie Capazza, Nançay
2024 Horizons, exposition collective, Galerie Capazza, Nançay
2023 Danser avec les nuages, exposition collective, Galerie Capazza, Nançay
2022 Coexister, exposition collective, Galerie Capazza, Nançay
2021 Enfances, exposition collective, Galerie Capazza, Nançay
2020 Le torse d’une femme à la pureté d’un vase, grandes courbes simples d’un fruit désiré, Parcours d’art contemporain autour d’Auguste Rodin, 1 exposition, 5 lieux, exposition collective, Galerie Capazza, Nançay
2019 L’arbre c’est le temps rendu visible, Galerie Capazza, Nançay
Re-Naissance[s] – 24 mai au 25 août 2019, Hôtel Goüin, Tours
Antica Namur 2019 – 9 au 17 novembre Hall 1 stand D19, Galerie Capazza, Belgique
2018 Miroir des Sentiments, Galerie Capazza, Nançay
2017 Il est grand temps de rallumer les étoiles, Galerie Capazza, Nançay
Antica Namur 2017 – novembre 2017, Galerie Capazza, Belgique
2016 Vénus et Vulcain, Galerie Capazza, Nançay
2015 Ensemble depuis 40ans, Galerie Capazza, Nançay
Exposition personnelle, Galerie Capazza, Nançay
Antica Namur 2015 – novembre 2013, Galerie Capazza, Belgique
2013 Antica Namur 2013 – novembre 2013, Galerie Capazza, Belgique
2012 Art Elysées 2012 – octobre 2012, Galerie Capazza, Paris
2010 Livres d’Art, Miami, USA
On the road again, Galerie Capazza, Nançay
Peintures à propos du theater Kathakali, Goa, Inde
2009 Galerie Sinfield, Oxford, Royaume-Uni
2008 Noir et blanc, Galerie Capazza, Nançay
Lille Art Fair, Galerie Capazza
2007 X vu Par, Galerie Capazza, Nançay
Centre Culturel du Japon, Cologne, Allemagne
2006 Galerie Capazza, Nançay
Collegio Raffaello, Urbino, Italie
2005 Eros, Galerie Capazza, Nançay
2004 Galerie Capazza, Nançay
St’art, Foire Internationale de Strasbourg, Galerie Capazza
2003 St’art, Foire Internationale de Strasbourg, Galerie Capazza
Galerie Terra Viva, Saint-Quentin la Poterie
Rencontres d’Art, Musée Ingres, Montauban
2002 Rencontres d’Art, Musée Ingres, Montauban
Chapelle des Pénitents Blancs, Vence
2001 Galerie La Hune Brenner, Paris
Galerie Capazza, Nançay
2000 Espace Saint-Cyprien, Toulouse
Palazzo del Barco, Bordighera, Italie
Rencontres d’Art, Musée Ingres, Montauban
Rencontres d’Art, Musée de Pau
L’espace et l’oiseau, Musée de Rabastens
Galerie Morin-Pitel, Paris
1999 Espace Cardin, Paris (Galerie Capazza)
Galerie Moscato, Aix-en-Provence
Chemin de Croix de la Chapelle des Pénitents, Saint-Paul de Vence
1998 Galerie de la Salle, Saint-Paul de Vence
Galerie C. Dorval, Paris
1997 Espace Cardin, Paris (Galerie Capazza)
Galerie Capazza, Nançay
1996 Galerie de la Salle, Saint-Paul de Vence
1995 Galerie Litho-Art, Charlottenlund, Danemark
Galerie La Coupole, Neu-Isenburg, Allemagne
1994 Galerie Capazza, Nançay
Salon d’Art Contemporain de Monte-Carlo
Rencontres d’Art, Musée Ingres, Montauban
Galerie de la Salle, Saint-Paul de Vence
1993 Salon d’Art Contemporain, Beaulieu
Centre culturel de Bordighera, Italie
1992 Galerie Kamil, Monte-Carlo
Biennale Internationale de Brignoles
Salon d’Art Contemporain de Menton
Centre Matisse, Vence
Galerie de la Salle, Saint-Paul de Vence
Salon d’Art Contemporain, Beaulieu
1991 Chapelle des Pénitents Blancs, Vence
Galerie Lilo Marti, Saint-Paul de Vence
1990 Fondation Sophia-Antipolis
Maison des Artistes, Cagnes-sur-Mer
1984 Chapelle Corneille, Rouen
Cloître de Saint-Emilion
1980 Galerie F. Gollong, Saint-Paul de Vence
Galerie Ducène, Bruxelles
La France de 30 Créateurs d’Aujourd’hui par André Parinaud
1979 Galerie de la Salle, Saint-Paul de Vence
1978 Galerie C.Ratié, Paris
1976 Musée du Futur, Paris
Biennale Internationale de Menton
1973 Exposition Galerie Findlay, Paris-New York-Chicago
Musée de Saint-Paul de Vence
1972 Salon des Femmes Peintres, Musée d’Art Moderne, Paris
Salon International de la Femme par Sonia Delaunay, Nice
1971 Salon des Femmes Peintres, Musée d’Art Moderne, Paris
Nationale des Beaux-Arts, Paris
Salon des Artistes Français, Grand Palais, Paris
Salon du Gémail, Tours
1970 Salon des Femmes Peintres, Musée d’Art Moderne, Paris
Salon des Artistes Français, Grand Palais, Paris
Salon des Terres Latines, Paris
Salon de la Tauromachie, Nîmes
Galerie Isadora Duncan, Paris
1968 Exposition F. de Vallombreuse, Paris
1967 Exposition Galerie Mouffe, Paris
Lire la suiteCatalogue exposition personnelle, Galerie Capazza, édition Galerie Capazza, 2015
Le Palais des Vents, Jani (récit autobiographique), coédition Galerie Capazza et Diabase, 2015
Le Lion à la crinière d’étoiles, Z’Editions
Tampura, Z’Editions
Terre de Feu, Z’Editions
Petit traité de Lithomancie, Editions Tipaza
Art Vencia, Recueil de lithographies préfacé par Michel Butor
Fête de Nuit au Jardin, Editions de l’Ormaie
Le Silence là-haut, Editions Tipaza
Lire la suite